Les composantes qui relèvent des services de santé mentale et de traitement de la toxicomanie sont différentes d’une personne à l’autre. Cela dépend du contexte, de la culture, du statut socioéconomique et plus encore. Des éléments importants comme des facteurs, des contextes et des maladies sont souvent négligés lors de la prestation de services, ce qui engendre de graves lacunes pour les jeunes souffrant de maladies mentales complexes ou de problèmes de toxicomanie. Cette séance plénière mettra en vedette de jeunes artisan(e)s du changement qui s’efforcent de faire la lumière sur des sujets qui sont souvent laissés de côté, afin que nous puissions collectivement élargir notre compréhension du véritable système de services et aider les jeunes et leurs familles à trouver la bonne aide au bon moment et au bon endroit. Il est temps de combler les lacunes, et non de les éviter.
Principaux points
- Il faut donner plus d’espace aux jeunes personnes noires, autochtones, de couleur et LGBTQ2S+ pour qu’elles racontent leurs histoires et partagent leurs perspectives culturelles sur la stigmatisation et la santé mentale.
- Nous devons répertorier et traiter les obstacles uniques en matière de santé mentale des jeunes, que l’on trouve parmi les populations de nouveaux arrivant(e)s et d’immigrant(e)s.
- Aucun groupe de jeunes n’est monolithique, et même au sein des groupes de jeunes, il existe une hétérogénéité et une diversité qu’il faut décortiquer et apprécier.